Il y a des plats à travers le monde, qui prêtent un tout nouveau sens à l’expression : « manger à en mourir ». Ce n’est pas tant la quantité qui est mise en question, mais plutôt la réelle dangerosité desdits plats. Hautement toxiques, potentiellement psychotropes, ou carrément suicidaires… il y en a pour tous les goûts…

Le fugu au Japon

Le fugu est un poisson que l’on retrouve généralement à proximité des côtes nippones. Au Japon, c’est un met particulièrement prestigieux, mais pas en raison de son goût. Le poisson n’est pas mauvais, mais son goût ne justifie pas, à en croire les habitués, les risques auxquels on s’expose pour en déguster.

En effet, le fugu (poisson-globe) est un poisson qui prend du volume pour dissuader les potentiels prédateurs. Mais, lorsque cette mesure dissuasive ne fonctionne pas, il peut être certain d’emporter son prédateur avec lui. En effet, ce poisson contient une glande toxique. Le poison qu’il répand n’a pas de cure à cette date.

L’absinthe : la fée verte

L’absinthe a hérité du nom de « fée verte » au fil des années. C’est une boisson faite de plusieurs ingrédients qui a connu une réelle popularité au 18ème siècle. Bien qu’elle existât bien avant, on lui attribuait des vertus médicinales. Mais, le souci avec l’absinthe est qu’elle continent des substances susceptibles de causer des hallucinations.

Elle a d’abord été interdite vers la fin du XIXème siècle avant d’être ré-autorisée dans les années 1980. Aujourd’hui, sa consommation est permise et sa distillation répond à des normes rigoureuses. Mais on n’oubliera pas qu’elle est encore susceptible de causer des hallucinations et qu’il y a eu des cas de démence permanente déclenchée après consommation de ce breuvage.

Le sannakaji : une pieuvre vivante

Pourquoi ne pas manger une pieuvre vivante ? Certainement parce qu’on prendrait le risque inconsidéré d’être étouffé par les tentacules ou les ventouses de la bête ? Il faut croire que les coréens et autres amateurs de sannakaji ne se sont pas posés la question. Le plat est encore très populaire dans certaines régions d’Asie. Et le risque d’étouffement est bel et bien réel ! Surtout que l’animal encore vivant n’hésitera pas à faire de la résistance pour vous empêcher de l’avaler.

Notons que la pieuvre est servie crue, accompagnée d’un peu d’huile et de sésame. Pour ce qui est du goût, rien ne semble indiquer qu’il soit particulièrement intéressant. C’est donc l’expérience insolite que recherchent les amateurs de ce plat dangereux.

e pieuvre vivante

Pourquoi ne pas manger une pieuvre vivante ? Certainement parce qu’on prendrait le risque inconsidéré d’être étouffé par les tentacules ou les ventouses de la bête ? Il faut croire que les coréens et autres amateurs de sannakaji ne se sont pas posés la question. Le plat est encore très populaire dans certaines régions d’Asie. Et le risque d’étouffement est bel et bien réel ! Surtout que l’animal encore vivant n’hésitera pas à faire de la résistance pour vous empêcher de l’avaler.

Notons que la pieuvre est servie crue, accompagnée d’un peu d’huile et de sésame. Pour ce qui est du goût, rien ne semble indiquer qu’il soit particulièrement intéressant. C’est donc l’expérience insolite que recherchent les amateurs de ce plat dangereux.