Chaque culture se construit en fonction de l’environnement où elle se développe. Mais surtout, elle s’enrichit par l’apport de générations successives et parfois, au contact d’autres cultures. Il n’est donc pas choquant que certaines habitudes puissent paraître étranges à des personnes extérieures à une culture donnée. Et quoi de mieux pour illustrer ce propos, que de faire le tour de certaines des habitudes culinaires les plus étonnantes du monde.

Le Hákarl

Manger du requin, ça n’a rien de spécial. Manger de la viande fermentée, ce n’est pas nouveau. Mais, manger de la viande de requin pourrie et fermentée, il fallait le faire ! Le Hákarl est un plan islandais apprécié des natifs. L’odeur de la viande putréfiée est suffisamment forte pour décourager les débutants et les curieux, mais d’après les amateurs, le goût en vaut la chandelle.

Si cette viande doit d’abord être laissée sous terre pendant quelques temps pour pourrir, et ensuite être séchée à l’air, c’est parce que fraîche, elle est toxique. C’est donc un moyen qu’ont trouvé les ancêtres des islandais pour consommer cette viande. Et s’il est possible que de nouveaux procédés puissent être mis au point, la tradition l’emporte sur ce coup.

Tarentules

Manger des insectes n’est déjà pas du goût de tout le monde. Mais manger des tarentules frites, ce n’est clairement pas pour les esprits sensibles. Pourtant, au Cambodge, l’araignée frite est un met populaire. Il n’est pas rare de trouver des stands qui proposent ces repas au bord des rues. Un encas protéiné pour ceux qui ont une petite faim.

La préparation de ces arachnides est délicate. Dès qu’ils sont capturés, leurs crocs leur sont retirés et elles sont lavées et passées à la flamme pour brûler les poils. Ensuite, elles pourront être sautées dans un wok avec des épices, du sucre ou d’autres accompagnements.

Les larves de fourmis

C’est au Mexique qu’on retrouve le plus souvent ce plat. Les « escamoles » sont des larves de fourmis qui seraient consommées depuis des siècles par les aztèques. Ces larves sont recueillies dans des racines de plants d’agave la plupart du temps. Ensuite, elles pourront être servies dans des omelettes, des tacos ou d’autres plats en tant que garniture. Mais, elles peuvent également être frites dans du beurre pour leur conférer une texture beaucoup plus croustillante.

Le moins qu’on puisse dire est qu’il faut avoi est un met populaire. Il n’est pas rare de trouver des stands qui proposent ces repas au bord des rues. Un encas protéiné pour ceux qui ont une petite faim.

La préparation de ces arachnides est délicate. Dès qu’ils sont capturés, leurs crocs leur sont retirés et elles sont lavées et passées à la flamme pour brûler les poils. Ensuite, elles pourront être sautées dans un wok avec des épices, du sucre ou d’autres accompagnements.

Les larves de fourmis

C’est au Mexique qu’on retrouve le plus souvent ce plat. Les « escamoles » sont des larves de fourmis qui seraient consommées depuis des siècles par les aztèques. Ces larves sont recueillies dans des racines de plants d’agave la plupart du temps. Ensuite, elles pourront être servies dans des omelettes, des tacos ou d’autres plats en tant que garniture. Mais, elles peuvent également être frites dans du beurre pour leur conférer une texture beaucoup plus croustillante.

Le moins qu’on puisse dire est qu’il faut avoir l’estomac solide pour tenter l’expérience. Mais à en croire ceux qui ont déjà franchi le cap, les « escamoles » seraient agréables et auraient un goût particulièrement intéressant.

Il y a partout dans le monde, des recettes surprenantes et des ingrédients choquants. Même aux Etats-Unis, il est possible de trouver des régions où l’on mange du cerveau de porc frit, servi dans des sandwiches.